De "nombreux" touristes sont amenés par des vedettes, probablement tant pour le Loch Scavaig lui même vu de la mer que pour le Loch Coruisk (eau douce) à quelques centaines de mètres du point de dépôt, mais manifestement, on ne leur dit pas tout, ou on ne met pas trop de "complications" pour ne pas effrayer le client: les petites tennis, voir sandalettes, parfois des robes blanches, les petits chiens proprets, sont totalement incompatibles avec le caractère bien "boggy" du chemin qui longe le lac. Du coup tout ce petit monde ne s'éloigne guère du débarcadaire, et le marcheur aguerri, équipé des chaussures idoines, peut patauger à sa guise dans la boue avec le sentiment classique de bravoure associée à la solitude des lieux.