Au moins deux raisons ont conduit à faire escale à Man. D'abord parce qu'être déjà passé à côté 4 fois sans s'y arrêter pousse un peu à la curiosité, même si la réputation de paradis fiscal et les clichés touristiques de la capitale Douglas n'attirent pas à priori le plaisancier en mode "route du Rom".
Mais hormis Douglas, les ports sont modestes et qui plus est d'échouage, avec ou sans écluse, ce qui en principe fait fuir les yachts des traders ou équivalents.
Hors justement un bon coup de vent de sud est annoncé et Peel présente un avant port certes qui assèche, mais bien protégé de cette direction.
Alors va pour Peel...en ce 31 juillet